mercredi 15 février 2012

Ecrire sur un clavier anglais c'est merveilleux

M+1,5 in London = Quand on fete les 20 ans, en avance, avec tous les copains

Bon, pas tous, on a essayé, on a pas pu. Soit. En attendant, ça ne nous a pas empêcher de sortir et -par miracle- manger japonais.
Oui, c'est effectivement un miracle dans cette ville. A moins de manger a 17h, ou d'avoir tout plein de sous a mettre dans 6 sushis, ce n'est pas possible.
La première fois, alors que j'étais avec mon cher et tendre, on m'a claqué un : "have you booked a table ?"
Ah. Il faut réserver pour un buffet japonais ici ? C'est donc avec le coeur gros, l'estomac vide et en pestant contre l'humanité que nous avons rebroussé chemin.
La deuxième tentative se déroula peu de temps apres, en compagnie de mon autre chère et tendre (quel coeur d’artichaut je suis ma foi, quelle audace d'écrire en rose Barbie) Mathilde. Et la, autre claque. Le restau-pas-cher-dont-on-avait-entendu-parlé-trop-bien-hihihi ferme ses portes, un vendredi soir, a 18h30. Oui Mossieur. Je le mets en gras pour bien insister sur le jour et l'heure. Même pas peur.
Dans cette situation, tu peux plier bagage, rentrer de nouveau l'estomac vide et en ralant ou tu peux aller dans Chinatown et essayer d'en trouver un autre. Ce qu'on a fait, les yeux brillants, l'espoir vaillant. Que nenni sombre margoulin, même chez nos amis les asiat', impossible de trouver un foutu restau japonais qui ne servent pas des sushis 14 carats.
On a donc fait fort, on est rentrées 2 h aprés (c'est long le métro), l'estomac chantant la Marseillaise, la motivations au niveau de nos doigts de pieds. Et on a mangé des Noodles (c'était pour l'anecdote)


Bref, revenons a nos moutons ; le pré-anniversaire.
On a réuni toute la team possible, j'appelle au rapport : Manon-pouet et son amoureux-pouet, Kadia et son coloc italien, Mathilde et son voisin Nicolas, moi et mes colocs espagnoles et italiennes. C'est beau, c'est merveilleux, on a entendu parlé 4 langages en une soirée (VIVE L'EUROPE !). 
J'ai appris des gros mots en italien, je leur ai appris des gros mots en francais -normal-, on a mangé pour 200 livres a 10, mon estomac a crié un énorme "VICTOIRE" car cette fois, pas folle la guepe, on a réservé. (NLDR : nos estomacs n'ont plus eu assez de force pour crier aprés, on les a achevé sans pitié -surtout le mien- a coups de sashimi.)


Suite a ces millions de sushis avalés, le couple Pouet a eu la brillante idée de dire "tiens, on va dans un pub ?" 
Le fameux pub

J'ai rarement profité des pubs ici pour le moment, faute de temps (des fois un peu quand meme), de motivation (il a fait froid oh!) ou d'amis (aussi). Je dois avouer que le tout était bien sympa, jusqu'a ce qu'un évenement encore plus sympa débarque : deux Canadiens parlant un francais canadien (cad : un français qui fait mortellement sourire tellement c'est drole) qui nous ont entrainé dans un club on ne sait trop comment. J'aurais bien fait un commentaire comparatif France/England mais je n'y suis pas restée assez longtemps pour ça. 
La soirée s'est clôturée par un retour au chaud a la maison dans la nuit, bras dessus-dessous avec mes colocs d'amour, en sifflotant, couché de soleil inclu (une de ces informations est fausses, laquelle ?)



Pour finir : MERCI a tous pour cette soirée, qui m'a mis une sacré patate.





 

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